Vous lisez quoi la, tout de suite maintenant ?

"La horde du contrevent", j'en ai entendu beaucoup de bien aussi.

Sinon moi je relis "Le seigneur des anneaux" pour la 6e fois

Slakk a écrit:

Sinon moi je relis "Le seigneur des anneaux" pour la 6e fois

j'ai pas compté mais je dois etre a peu pret au meme nombre de lecture

Pas encore commancé, mais l auteur n est pas un débutant, il devrait pas me décevoir^^

l'auteur c'est surtout son fils non ?

Moi je suis sur un truc genre pavé qui donne mal à la tête



Une histoire mondial du "grand XIX eme siecle" par un auteur anglosaxon qui a un style qui fait que ca passe tranquillement.

son fils a terminé le livre, un peu comme si le fils de Beethov' avait finit la 9ème symphonie^^

daodi a écrit:

l'auteur c'est surtout son fils non ?

Difficile de faire la part de se que J.R. a réellement écrit et ce que Christophe a écrit en son nom pour que cela se vende mieux. Hormis LSDA et Bilbo Le "Lapin" rien n'est sur. "Les enfants de Hurin" relate l'histoire de Turin, fils de Hurin, qui était déjà raconté dans "Contes et légendes inachevés du 1er âge". Ca vaut le détour pour n'importe quel amateur d'heroic fantasy. Indispensable pour un fan de Tolkien. Enjoy.

Là je suis sur qu'on m'a offert dernièrement.
Je pensais m'emmerder mais en fait ça me fait bien rigoler.
Du coup j'ai laissé de côté , qui est sympa mais sans plus ( recueil de nouvelles parus dans des magazines au début de la carrière de Dick )

mon code de la route..... et oui je commence a passer mon permis

PiPoUnE a écrit:

mon code de la route..... et oui je commence a passer mon permis

Le code ça va, la conduite dans les premières heures c'est horrible mdr

Hier, je me suis acheté le (fort probable) dernier tome du "Combat Ordinaire" de Manu Larcenet.
Je viens de le finir,
trjs très bien ^^ (mais peut être pas le meilleur).

Je conseille très fortement la série (4 tomes). Bon ce n'est pas "très drôle", mais très touchant je trouve. Enfin c'est une vision de la réalité de la vie, et de ses tracas.

Je viens de le lire aussi, sympa mais effectivement pas le meilleur. D'un autre côté, après l'incroyable excellence des premiers tomes, ce pauvre Manu avait placé la barre très, très haut.

La série restera l'une de mes préférées quand même

Personnellement je n'ai que quelques Bill Baroud, du même auteur, qui sont ma foi plutôt cocasses.

Les Contes et légendes inachevés



Des bouts d'histoires écrits par Tolkien avant ou pendant qu'il fesait le SdA, mais pas fini. Les histoires en elles même ont souvent une fin, mais Tolkien ne les jugeait pas encore prêtes à être publiées. Le monde de la Terre du Millieu est bien là, mais pas de Aragorn, Légolas et autre Frodon.

Il s'agit plus d'anecdotes présentées sous forme de nouvelles qu'un vrai roman.

Je viens de finir ca



et j'ai commencé ça

8 pages sur FallOut 3. Ami fanboy attention a pas taché ton caleçon

Haaaaan vite chez le marchand de journal !

daodi a écrit:

8 pages sur FallOut 3. Ami fanboy attention a pas taché ton caleçon

Hey pas moyen de pogner le canard ici :s Tu nous les scan dis?

Ah pas possible, droits d'auteurs, forum public, toussa...

Faut que je trouve un scanner. Lundi probablement, aujourd'ui 2 mai l'administrateur systeme/reseau est pas la et du coup j'arrive pas a utiliser celui du boulot

Je vient de finir Globalia de Jean Christophe Rufin, Une contre-utopie du "big-brother" très intéressante, et une vive critique de la démocratie poussée à l'extrème, ainsi que de la manière de diriger.

A recommander à toute et à tous!

Sinon dans le même genre que "la vie française" de Dubois, il y a aussi : "Vous plaisantez monsieur tanner?!"
Un livre lui aussi très comique, ou un citadin tente désespérement de retaper une maison de campagne reçu en héritage.

Pour tout ceux en relation avec des artisans, c'est très, très drôle!

J'ai fini ca


Et j'ai attaqué la relecture de CES romans



Un livre totalement incroyable et tout a fait génial.

Imaginer un immeuble vu en coupe. Decouper ensuite cette coupe en un damier de 10X10 soit 100 cases. Chaque chapitre traite une de ces cases et raconte en gros une histoire différente liée a une partie de l'immeuble.

Mais ca serait un peu facile comme ca donc l'auteur s'est fixer un certain nombre de contrainte :

- le plan de déplacement dans l'immeuble (et donc d'un chapitre à l'autre) utilise la a polygraphie du cavalier

- pour chaque chapitre, l'auteur a redigé avant le roman une liste de contrainte : style de mobilier, objets, animaux, formes, couleurs, ressort, parler d'un évènement du jour d'écriture, citation..... Pour ceux a qui ca parlent il a repartit les contraintes dans les pieces en utilisant le Le bi-carré latin orthogonal d'ordre 10 et en appliquant en plus le principe de permutation de la sextine . Oui oui il aimait beaucoup les math.

Les contraintes sont la pour imposer une plus grande créativité.

Au final on obtient un roman ironique, subtil, drole, touchant bourré de romans avec plein de petites et de grandes histoire plus ou moins reliées entre elle mais integrées dans une trame générale.

Le livre est également bourré de jeux avec les mots et les lettres plus ou moins masqués (palyndrome et cie)

Voila un livre que je vous conseil franchement. L'article complet wikipedia
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_vie_mode_d%27emploi et le cahier des charges complet chapitre par chapitre http://escarbille.free.fr/vme.php

Oh oui oh oui, je l'ai lu y a qques temps et il est effectivement génial (au sens strict). Perec tsè.

D'ailleurs le monsieur c'est aussi fait la fameux roman sans "E", "La disparition" et son contraire "Les revenentes" un roman ou la seule voyelle est le "E" (et pour celui la il a pris quelques liberté avec les règles du français").

Il a aussi commis ce qui fut pendant longtemps le plus long palyndrome en langue française

Citation :

Trace l'inégal palindrome. Neige.
Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né
Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d'une vérité banale,
le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir
brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté,
cor cruel, nos albatros. Etre las, autel bâti, miette vice-versa
du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps,
ellipsoïdal.
Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé
me ravale: le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! --
obsédante sonate teintée d'ivresse.
Ce rêve se mit -- peste ! -- à
blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de
l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os
nu. Si, à la gêne sècrete-- verbe nul à l'instar de cinq
occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé,
caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire !
L'écho fit (à désert): Salut,
sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit: Abrupt ogre,
eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, genial à la rue (murmure
sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode: Hep,
mortel ?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'...).
Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh,
cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à
morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla:
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur
! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë
le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art
sournois: si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai
ni pollen (retêter: gercé, repu, denté...) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe
nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ?
Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes
elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses
Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop
minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil
accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice,
ressorti du réel. Ci-git. Alpaga, gnôme, le héros se
lamente, trompé, chocolat: ce laid totem, ord, nil aplati,
rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!).
Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le
Big à ruer bezef.
L'eugéniste en rut consuma d'art
son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin,
élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la
hauteur de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté: Elle ? Tenu.
Etna but (item mal famé), degré vide, julep: macédoine d'axiomes,
sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer
ni arreter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l'art su, oh,
tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu,
qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a
lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il à prié bonzes, Samaritain, Tora,
vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés:
Arbalète (bètes) en noce du Tell
ivre-mort, émeri tu: O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade
lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce
lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête,
sec à pseudo délire: Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin,
abruti de Ninive, Déjanire. . .
Le Phenix, eve de sables, écarté,
ne peut égarer racines radiales en mana: l'Oubli, fétiche
en argile.
Foudre.
Prix: Ile de la Gorgone en roc, et,
ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa)
niére de mimosa:
Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale;
Volcan. Roc: tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa
nullité (nu à je) belge: ipséité banale. L' (eh, ça !)
hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei...
Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or,
Noël: crèche (l'an ici taverne gelée dès bol...) à
santon givré, fi !, culé de l'âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil
(écru, sale, sec). Saluts: angiome. T'es si crâneur !
. . .
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse,
là, sur ce lieu gros, nasses ongulées...
S'il a pal, noria vénale de Lucifer,
vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on
rode, nid à la dérive, Dèdale (M. . . !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale
mord, y hache l'élan abêti: Espiègle (béjaune) Till: un
as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d'électorat,
cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime,
de rein à sonder: à marin nabab, murène risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d'elixir perdu, ô,
feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage
tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je:
devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile,
dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?)
verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic
rafistolé: canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté,
pédicule d'aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro,
Mer, Ville...) tu déconnes. Été: bètel à brasero. Pavese
versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir !
Amassez.
N'obéir.
Pali, tu es ici: lis abécédaires,
lis portulan: l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre
? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra!
L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri: Lob à nul si à
ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce
de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme
titubante: une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse
drue tua, ha, l'As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô,
fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et,
si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le
faiseur d'ode protège.
Ipéca...: lapsus.
Eject à bleu qu'aède berça sec.
Un roc si bleu ! Tir. ital.: palindrome tôt dialectal.
Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati
gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète,
turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ?
-- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte...
Nos masses, elles dorment ? Etc...
Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara
l'égarent. N'amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir
brisé du toc cabotin et né du Perec: Regret éternel. L'opiniâtre.
L'annu- lable.
Mec, Alger tua l'élan ici démission.
Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon
!), Israël, Biafra, bal à merde: celez, apôtre Luc à Jéruzalem,
ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane
ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité
la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l'Égérie pelée rape,
sénile, sa vérité nue du sérum: rumeur à la laine, gel,
if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu
qu'Armada serve: if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh,
tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge: ni
sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune
brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée
(Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis,
ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé
et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser.
Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil.
Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu
que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à
blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser
vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc
lu. Détrompe la. Morts: l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire
ce trépas rêvé: Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce
repentir, cet écrit ne perturbe le lucre: Haridelle, ta
gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.

Et pour les Mulxowontax qui traine sur le forum et qui aime ce genre de chose, un petit tour ici s'impose : http://www.oulipo.net/

Une trilogie vraiment passionnante et riche en rebondissement

J'y reviens régulièrement et c'est très bon.

Sinon petit pensée pour Albert Cossery qui est mort récemment à l'age de 94 ans. Il n'aimait ni la propriété, ni le travail, sans doute pour ca qu'il n'a jamais travaillé, ni jamais possédé grand chose. Il vivait dans la même chambre d'hotel depuis 1945. Ces livres sont très très bon. Mes conseils



et

Bon parfois faut lire des trucs qui sont sur la liste depuis longtemps.